Il s’agit d’une organisation dirigée par des défenseuses autochtones des droits des femmes, qui travaillent avec les communautés locales affectées par la grande exploitation aurifère de Porgera, commencée il y a trois décennies.
Elle se concentre principalement sur les femmes impactées par l’industrie minière, en recherchant des mécanismes de réparation « par le bas » pour compenser les pertes et dommages occasionnés par l’exploitation. L’organisation lutte pour la responsabilité des entreprises et pour le droit à un environnement propre, sain, pacifique et durable.
Une grande partie de son travail consiste à recueillir les récits des femmes autochtones affectées par l’exploitation minière et à produire des recherches sur les violations des droits humains et la dégradation environnementale, utilisées pour le plaidoyer aux niveaux national et international.


