Security for human rights defenders

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La Cour constitutionnelle de Colombie (la Cour) a exercé ses pouvoirs de contrôle judiciaire pour évaluer la situation des personnes déplacées en Colombie. Environ 1 150 groupes familiaux ont formulé des demandes de tutelle ou de protection auprès de leurs municipalités respectives, revendiquant le droit à la protection de l'État en raison de leur statut de personnes déplacées. Ces individus ont sollicité une assistance, mais l'État a soit refusé de la fournir, soit l'a accordée de manière partielle en invoquant des contraintes budgétaires.

La Cour a examiné les cadres juridiques constitutionnels et internationaux qui accordent une protection spéciale aux femmes défenseures des droits humains en raison de leur vulnérabilité liée à leur situation de déplacement. Parmi les autres instruments internationaux et régionaux garantissant le droit à la défense des droits humains, la Cour a étudié la Déclaration des droits des défenseurs des droits de l'homme (1999) et la résolution 1671 (1999) de l'Organisation des États américains (OEA).

Dans un premier temps, la Cour procède à l’analyse des raisons pour lesquelles les défenseur·es des droits humains sont pris pour cible pendant les conflits armés et les déplacements de population, en soulignant les principaux facteurs suivants : (a) il·elles sont identifié·es comme « informateur·rices » par les factions armées ; (b) le type d’informations qu’il·elles traitent en vertu de leur position au sein d’organisations ; (c) il·elles sont considéré·es comme des obstacles aux aspirations de pénétration sociale et territoriale des groupes armés ; et (d) leur visibilité au sein de la so

Le Réseau-DESC - Réseau international pour les droits économiques, sociaux et culturels célèbre l'acquittement des membres de Karapatan, - l'Alliance pour l'avancement des droits du peuple - et de leurs alliés...

Nous, les organisations soussignées, exprimons notre plus grande préoccupation concernant la criminalisation en cours de dix défenseurs et défenseuses des droits humains et membres de Karapatan, GABRIELA et du Rural Missionaries of the Philippines (RMP) en représailles de leur travail légitime...

Le Réseau-DESC - Réseau international pour les droits économiques, sociaux et culturels est solidaire de Karapatan, - l'Alliance pour l'avancement des droits du peuple - et de leurs alliés GABRIELA - l'Alliance nationale des femmes - et les Rural Missionaries of the Philippines (RMP) face aux accusations de représailles pour parjure portées par le gouvernement philippin à leur encontre.

 En un peu plus d'un an, le Réseau-DESC a envoyé une deuxième lettre collective au Président de la Colombie, Iván Duque Márquez, concernant de nouvelles menaces qui proviendraient du...